Et si on se promenait sur les berges de la Seine, à Paris, en face du musée d'Orsay pour admirer les photos de Reza et des ados qui l'ont accompagné dans un camp de réfugiés syriens au Kurdistan? Une fresque de 370 mètres qui peut vous être commentée par des jeunes gens disponibles sur place.
Quand j'ai programmé ce billet, je ne savais pas à quel point il serait d'actualité. Et pourtant, pour moi, ce n'est pas le sujet de la semaine, c'est celui de ces deux dernières années. Pas de photo choc mais des regards et des sourires.
Jusqu'au 12 octobre.
A conseiller à ceux qui n'ont pas besoin de la mort d'un enfant pour se sentir concernés par les migrants.
Merci à mon amie Hélène qui m'a parlé de cette expo (ces deux photos sont particulièrement pour toi).
C'est clair qu'on s'interroge quand même sur des politiciens qui refusent d'agir tant que l'opinion ne bouge pas !
RépondreSupprimerL'éternel problème. Et combien de temps durera l'état d'esprit actuel. Car l'angélisme ne résoudra rien non plus. C'est un problème qu'il faut prendre à bras le corps.
SupprimerMerci pour ce billet.
RépondreSupprimerIl me tenait à coeur.
SupprimerJe reconnais la deuxième photo, elle faisait partie de l'expo il y a quelques années sur les grilles du jardin du Luxembourg. J"aime beaucoup la démarche de Reza.
RépondreSupprimerAh je ne savais pas.
Supprimerrien à ajouter : tout est dit et bien dit. bises
RépondreSupprimerMerci Philisine.
SupprimerBien vu ta conclusion...bravo.
RépondreSupprimerMerci Galéa. En même temps, on a assez parlé de ce thème depuis des mois et mois pour savoir où on se situe toutes les deux.
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